Le Mont Adi n'était quasiment plus enneigé comme il ya 15 jours lors de la reconnaissance, et nous avons pu faire son ascension sans crampons. Les derniers 300 mètres sont toujours aussi raides et ont donné pas mal de peine à quelques-uns d'entre nous, mais nous sommes tous arrivés au sommet où nous avons cassé la croûte (et goûté la fameuse confiture à la pastèque de Bernard) devant le damier coloré de la vallée des Aldudes.
Le soleil a été de la partie dès le matin, s'amplifiant au fur et à mesure de la journée, à part sur le coup de 13h où il a boudé le sommet pendant une trentaine de minutes.
Nous sommes tous descendus par un beau chemin en forêt, comme prévu, sur le col d'Urquiaga où le car nous attendait. Comme nous avions un peu d'avance sur l'horaire habituel, nous nous sommes arrêtés dans une venta espagnole où nous avons pu nous désaltérer. Et la sangria était fameuse pour fêter la nouvelle année !
Le soleil a été de la partie dès le matin, s'amplifiant au fur et à mesure de la journée, à part sur le coup de 13h où il a boudé le sommet pendant une trentaine de minutes.
Nous sommes tous descendus par un beau chemin en forêt, comme prévu, sur le col d'Urquiaga où le car nous attendait. Comme nous avions un peu d'avance sur l'horaire habituel, nous nous sommes arrêtés dans une venta espagnole où nous avons pu nous désaltérer. Et la sangria était fameuse pour fêter la nouvelle année !
Départ d'Urepel
Montée dans les alpages
Pic AUTZA au loin.
Le Mont ADI
Traversée d'éboulis dans la pente raide 
La crête sommitale
Repas au sommet 
Prêts pour redescendre
A la descente
Monique explique la suite
Dans le bois
Arrivée au col d'Urquiaga
Arrêt à la venta
